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Le Bureau d’assurance du Canada (BAC) et l’Association des courtiers d’assurances du Canada (ACAC) unissent leurs forces pour sensibiliser les Canadiens à l’impact des catastrophes naturelles sur leur maison et leurs biens.

Les moisissures se développent partout où il y a de l’humidité, ce qui signifie que chaque maison est susceptible de développer un problème de moisissures. Il peut être tentant de s’attaquer soi-même à l’élimination des moisissures, mais il ne s’agit pas d’un processus sécuritaire et simple à mettre en œuvre sans l’aide d’un professionnel.

Un comité de la Chambre des communes exhorte Ottawa à mettre en place un effectif permanent de gestion des catastrophes afin de répondre rapidement aux catastrophes naturelles comme les feux de forêt et les ouragans.

Même après l’extinction des flammes d’un incendie, les effets résiduels de la suie et de la fumée peuvent causer des dommages à long terme à votre santé et à celle de votre famille et de vos animaux de compagnie, ainsi qu’à votre maison et à son contenu.

Les gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux renforcent la Stratégie de sécurité civile du Canada. Axées sur la résilience et la collaboration, les actions stratégiques visent à atténuer les risques et à soutenir les efforts de rétablissement. De l’amélioration des capacités de communications aux programmes de rétablissement proactifs après sinistre, cette feuille de route trace la voie vers un avenir plus résilient.

En 2023, le Canada a connu la saison de feux de forêt la plus destructrice jamais enregistrée, avec plus de 6 132 incendies qui ont brûlé plus de 16 millions d’hectares de terres, une superficie supérieure à celle de la Grèce. En temps normal, les feux de forêt au Canada détruisent en moyenne 2,5 millions d’hectares.

Alors que le Canada révèle son programme ambitieux de logements, un aspect de première nécessité semble être visiblement absent : la résilience climatique. Craig Stewart, du Bureau d’assurance du Canada, a exprimé ses préoccupations du fait que le gouvernement n’a pas traité la question brûlante des menaces des événements météorologiques extrêmes.